3rd Lab s’associe à Pianity pour la création de NFT
3rd Lab se lance dans les NFT. Quel rapport me direz-vous entre un label indépendant et une technologie issue de la blockchain?
Là où certains voient d’un mauvais oeil un outil de spéculation, nous entrevoyons plutôt un nouvel outil de développement pour les groupes indépendants adaptés à une diffusion de plus en plus numérique.
A l’instar du collectionneur de vinyls qui voudrait son exemplaire numéroté, les NFT permettent à l’ère du numérique à un fan de collectionner une oeuvre qui pourtant est faite de 1 et de 0. En somme, c’est l’irruption de l’unicité dans le monde de la copie digitale… Mais ça n’est là qu’un aspect mineur de l’apport des NFT pour nous (bien que l’équipe du lab compte également des collectionneurs).
En effet, nous voyons en cette nouvelle technologie une possibilité pour des fans de soutenir un projet (morceau, album ou groupe, label…) de façon directe. Le crowdfunding avait ouvert une voie intéressante sur le soutien de projets précis par les fans. Mais le fait est que les différents acteurs de la filière, d’autant plus quand ils sont indépendants, ont des besoins financiers dépassant le simple cadre d’un projet unique et précis. Pour construire des albums, il faut pouvoir répéter dans un lieu, s’entourer d’une équipe pour sa diffusion, louer un espace de stockage pour les disques, etc., tout un tas de postes ne pouvant donner lieu à une contrepartie. Le soutien aux structures à travers l’achat de NFT se présente à nous comme un possible mécénat avec comme contrepartie un certificat numérique inviolable attestant du soutien de son propriétaire à un projet. Loin des considérations mercantiles ou spéculatives, les NFT offriront la possibilité à des fans de soutenir ce qui constitue nos projets, nos trajectoires, sans avoir à renoncer à nos directions artistiques et sans avoir à « nous vendre » .
Là où certains voient d’un mauvais oeil un outil de spéculation, nous entrevoyons plutôt un nouvel outil de développement pour les groupes indépendants adaptés à une diffusion de plus en plus numérique.
A l’instar du collectionneur de vinyls qui voudrait son exemplaire numéroté, les NFT permettent à l’ère du numérique à un fan de collectionner une oeuvre qui pourtant est faite de 1 et de 0. En somme, c’est l’irruption de l’unicité dans le monde de la copie digitale… Mais ça n’est là qu’un aspect mineur de l’apport des NFT pour nous (bien que l’équipe du lab compte également des collectionneurs).
En effet, nous voyons en cette nouvelle technologie une possibilité pour des fans de soutenir un projet (morceau, album ou groupe, label…) de façon directe. Le crowdfunding avait ouvert une voie intéressante sur le soutien de projets précis par les fans. Mais le fait est que les différents acteurs de la filière, d’autant plus quand ils sont indépendants, ont des besoins financiers dépassant le simple cadre d’un projet unique et précis. Pour construire des albums, il faut pouvoir répéter dans un lieu, s’entourer d’une équipe pour sa diffusion, louer un espace de stockage pour les disques, etc., tout un tas de postes ne pouvant donner lieu à une contrepartie. Le soutien aux structures à travers l’achat de NFT se présente à nous comme un possible mécénat avec comme contrepartie un certificat numérique inviolable attestant du soutien de son propriétaire à un projet. Loin des considérations mercantiles ou spéculatives, les NFT offriront la possibilité à des fans de soutenir ce qui constitue nos projets, nos trajectoires, sans avoir à renoncer à nos directions artistiques et sans avoir à « nous vendre » .